« Quand un.e Ancien.ne a besoin qu’on soutienne le sien, on sait là-bas l’accompagner au bout… »

Cette jeune femme est lumineuse. Comme les cieux, sous lesquels les Zoulou savent l’essence de l’envol…

Quand un.e Ancien.ne a besoin qu’on soutienne le sien, avant de s’effacer dignement, on sait là-bas l’accompagner au bout, pallier les difficultés et les douleurs du corps et de l’âme, dans la joie et la bienveillance.

Je gage qu’elle ne l’a pas appris d’eux, mais leur rencontre a probablement enrichi l’essence de son talent professionnel. On ne rencontre pas l’Afrique et les Zoulou impunément.

Ce talent pleinement accompli déjà, qu’elle déploie avec énergie, entrain, une bonne humeur communicative. Sur la base d’une grande rigueur, une haute exigence déontologique, une précision et une efficacité dans l’action, la coordination, remarquables. On doit, absolument, ajouter une agilité parfois facétieuse, toujours discrète, à « aider les aidants ».

C’est peu dire qu’elle fait preuve de souplesse, polyvalence, et de capacités d’adaptation, et j’insiste à vouloir en témoigner particulièrement : résidant en Guyane, sans elle je ne pourrais y terminer mon parcours professionnel. Elle permet à une dame « en train de perdre la tête » de lutter à se maintenir chez elle… et ça, c’est rock’n’roll, pas sûr que les Zoulous sachent faire, ils ne connaissent pas ma mère !…

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